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Le sacré et le profane MI1 14

Tout le matériel de ces lettres était-il inspiré ? L’espace imparti empêche une réponse exhaustive, mais Ellen White, ses employés, ainsi que nos ouvriers ont tracé une ligne entre « le sacré et le profane ». Il n’est pas difficile d’appliquer ce principe, surtout quand on sait qu’Ellen White évitait de donner l’impression que ses idées personnelles dans ses écrits étaient des conseils inspirés du Seigneur. A une occasion, elle écrivit : « Il y a cependant des moments où il faut parler de choses ordinaires, parce que des choses ordinaires occupent l’esprit ; alors des lettres ordinaires doivent être écrites, contenant des renseignements qui ont passé d’un ouvrier à l’autre » et que « c’est une grave erreur de mêler le sacré et le profane » — Messages choisis, vol. 1, chap. 2, p. 44, 43. MI1 14.4