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Fleuves, collines et arbres EDJ 218

1049. Là, nous avons aperçu l'arbre de la vie et le trône de Dieu. Du trône sortait un fleuve d'eau pure, et, de chaque côté du fleuve, se trouvait l'arbre de la vie. D'un côté du fleuve se trouvait un tronc d'arbre, et un autre tronc se trouvait également de l'autre côté, tous deux d'or pur et transparent. Je pensais d'abord que je voyais deux arbres. Puis je les observai à nouveau, et constatai qu'ils se rejoignaient au-dessus en un seul arbre. Tel était l'arbre de la vie de chaque côté du fleuve de la vie. Ses branches s'inclinaient jusqu'à l'endroit où nous nous trouvions, et son fruit était merveilleux; il ressemblait à de l'or mêlé d'argent. — Early Writings, 17 (1851); Premier écrits, 17. EDJ 218.3

1050. On aperçoit des fleuves intarissables, comme du cristal, et, sur leurs berges, des arbres aux frondaisons ondoyantes donnent leur ombre aux sentiers préparés pour les rachetés du Seigneur. Là, les plaines immenses sont parsemées de belles collines, et les montagnes de Dieu dressent leurs majestueux sommets. Sur ces plaines paisibles, près de ces cours d'eau, le peuple de Dieu, qui fut si longtemps pèlerin et errant, se sentira chez lui. — The Great Controversy, 675 (1911); La tragédie des siècles, 733. EDJ 218.4