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Ce n'est un fardeau que pour ceux qui désobéissent CE 80

Les Ecritures exigent des chrétiens qu'ils manifestent leur générosité afin de conserver sans cesse dans leur esprit le souci du salut de leurs semblables. La loi morale enjoignait l'observance du sabbat, qui n'était pas un fardeau, à moins d'une transgression entraînant les châtiments prévus par la loi. Le système de la dîme n'était pas non plus un fardeau pour ceux qui étaient fidèles. Cette règle donnée aux Hébreux n'a jamais été abrogée par celui qui en est l'auteur. Au lieu de perdre de sa force, elle aurait dû être maintenue et établie dans l'ère chrétienne, au fur et à mesure que l'on comprenait mieux que le salut ne pouvait s'obtenir que par le Christ. — Témoignages pour l'Église 1:426, 427. CE 80.3