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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2 - Contents
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    Chapitre 43 — L'esprit et la santé spirituelle

    Les fruits de la vie spirituelle — La vie spirituelle fournit à quiconque la possède ce que tout le monde recherche mais qu'on ne saurait obtenir à moins de s'abandonner entièrement à Dieu. — Lettre 121, 1904.EMS2 417.1

    Multiples bienfaits de la communion avec Dieu — C'est dans la connaissance de Dieu que prennent leur source toute véritable science et toute formation authentique. Dans quelque domaine que ce soit, physique, mental, spirituel; où que nous portions nos regards, en dehors du fléau du péché, cette évidence s'impose. Quelle que soit notre ligne de recherche, si nous souhaitons sincèrement parvenir à la vérité, nous sommes mis en contact avec l'intelligence invisible et toute-puissante qui est à l'œuvre partout. L'esprit de l'homme est en communion avec l'esprit de Dieu, le fini avec l'infini. L'effet de cette communion sur le corps, l'esprit et l'âme dépasse tout ce qu'on peut concevoir. — Education, 16 (1903).EMS2 417.2

    L'amour pour Dieu essentiel à la santé — Dieu est par excellence celui qui assure la sauvegarde de l'organisme humain. En ce qui concerne le soin de nos corps, nous devons coopérer avec lui. L'amour pour Dieu est essentiel à la vie et à la santé. — Special Testimonies Series B 15:18 (3 avril 1900); Counsels on Health, 587.EMS2 417.3

    Santé du corps et vie spirituelle — Dieu voudrait être reconnu comme l'Auteur de notre être; on ne saurait donc plaisanter avec la vie qu'il nous a donnée. L'insouciance en matière d'habitudes corporelles traduit une insouciance sur le plan moral. La santé du corps doit être regardée comme vitale pour la croissance en grâce, et pour avoir un tempérament équilibré. — Manuscrit 113, 1898.EMS2 418.1

    Effets bénéfiques des bonnes actions — Les bonnes actions sont un double bienfait, car elles profitent à la fois à celui qui les fait et à celui qui en est l'objet. Le sentiment du devoir accompli est l'un des meilleurs remèdes pour les corps et les esprits malades. La satisfaction, la joie d'avoir fait son devoir et apporté un peu de bonheur aux autres, communique une vigueur nouvelle à l'être tout entier. — Le ministère de la guérison, 221 (1905).EMS2 418.2

    Piété et santé — Ceux qui marchent sur le chemin de la sagesse et de la sainteté se rendent compte que “la piété est utile à tout, elle a la promesse de la vie présente et de la vie à venir”. 1 Timothée 4:8. Ils jouissent pleinement des vrais plaisirs de la vie et ne sont obsédés ni par des regrets stériles sur le temps perdu, ni par de sombres pressentiments comme c'est le cas des mondains lorsqu'ils ne sont pas distraits par des plaisirs excitants. Loin d'être en contradiction avec les lois de la santé, la piété est en harmonie avec elles. La crainte du Seigneur est le fondement de toute vraie prospérité. — Christian Temperance and Bible Hygiene, 14 (1890); Counsels on Health, 29.EMS2 418.3

    Une lutte constante — Quiconque désire devenir participant de la nature divine doit se rendre compte qu'il lui faut fuir la corruption qui existe dans le monde par la convoitise. Un combat permanent contre les imaginations nuisibles est nécessaire. Il faut résister fermement à la tentation en pensée et en acte. L'âme doit être gardée de toute souillure par la foi en Celui qui peut nous préserver de toute chute.EMS2 418.4

    Nous devons méditer les Ecritures, en réfléchissant avec sérieux et sincérité aux choses qui concernent notre salut éternel. La miséricorde et l'amour infinis de Jésus, le sacrifice qu'il a consenti pour nous demandent de notre part une réflexion tout à fait sérieuse et solennelle. Nous devrions méditer sur le caractère de notre cher Sauveur et Intercesseur, et chercher à comprendre la signification du plan du salut. Nous devrions réfléchir sur la mission de Celui qui est venu sauver son peuple de ses péchés. En méditant constamment sur les thèmes célestes, notre foi et notre amour grandiront. — The Review and Herald, 12 juin 1888.EMS2 419.1

    La santé est un tout — Tout ce qui nuit à la santé affaiblit non seulement la vigueur physique, mais aussi les énergies mentales et morales. — Le ministère de la guérison, 103 (1905).EMS2 419.2

    Etant donné que l'esprit et l'âme s'expriment au moyen du corps, l'énergie mentale et l'énergie spirituelle dépendent dans une grande mesure de la robustesse et de l'activité de ce corps; tout ce qui favorise la santé physique favorise également le développement d'un esprit solide et d'un caractère équilibré. — Education, 221 (1903).EMS2 419.3

    Rôle primordial du corps — Le corps est le moyen essentiel par lequel l'esprit et l'âme se développent pour l'édification du caractère. C'est pourquoi l'ennemi de nos âmes dirige ses tentations vers l'affaiblissement et l'avilissement des forces physiques. S'il parvient à atteindre ce but, alors c'est souvent la reddition de l'être tout entier au mal. Les dispositions de la nature, non contrôlées par une puissance supérieure, amènent l'homme à la déchéance et à la mort. Le corps doit être soumis à cette puissance supérieure, et ses passions contrôlées par la volonté, soumise elle-même au Seigneur. Le pouvoir suprême de la raison, sanctifiée par la grâce divine, aura la prépondérance dans la vie.EMS2 419.4

    Les forces intellectuelles, la vigueur physique, comme la durée de la vie, dépendent de lois immuables. En obéissant à ces lois, l'homme arrive à se dominer, à maîtriser ses propres inclinations, ainsi que les principautés et les puissances “de ce monde de ténèbres”, et “des esprits méchants dans les lieux célestes”. Ephésiens 6:12. — Prophètes et rois, 372, 373 (1917).EMS2 420.1

    L'énergie vitale de l'esprit — Le Seigneur voudrait que nos esprits soient clairs et lucides, capables de comprendre ses paroles qui nous incitent à le servir, à faire sa volonté en se reposant sur sa grâce et à accomplir son œuvre avec une conscience droite et un esprit reconnaissant. Une telle joie favorise la circulation du sang. Le cerveau communique à l'esprit une énergie vitale; c'est pourquoi le cerveau ne doit jamais être obscurci par l'usage des narcotiques ni excité par l'usage de stimulants. Il faut faire en sorte que le cerveau, les os et les muscles agissent en harmonie pour qu'ils puissent fonctionner comme des machines bien réglées, chaque partie agissant en accord avec les autres, sans qu'aucune ne soit surchargée. — Lettre 100, 1898.EMS2 420.2

    Dyspepsie et vie spirituelle — Les principes de la réforme sanitaire doivent être mis en œuvre dans la vie de tout chrétien. Les hommes et les femmes qui négligent ces principes ne peuvent pas avoir une communion vivante et sans tache avec Dieu, car un estomac dyspeptique ou un foie paresseux ont pour conséquence une vie spirituelle confuse.EMS2 420.3

    Manger la chair d'animaux morts a un effet néfaste sur la vie spirituelle. Quand on fait de la viande l'élément principal de la nourriture, les facultés supérieures sont asservies aux passions inférieures. Cela constitue une offense envers Dieu et entraîne un déclin de la vie spirituelle. — Lettre 69, 1896.EMS2 420.4

    La meilleure thérapie — Le sentiment de faire le bien est le meilleur remède pour des corps et des esprits malades. La bénédiction de Dieu pour celui qui en est l'objet est la santé et la force. Une personne dont l'esprit est serein et satisfait en Dieu est sur le chemin de la santé...EMS2 420.5

    Certains croient qu'obliger l'esprit à s'appesantir sur des sujets joyeux afin de refléter la lumière au lieu de l'obscurité et la tristesse ne fait pas partie des devoirs religieux. Ces gens-là seront enclins à rechercher leur propre plaisir par des conversations frivoles, à rire et à plaisanter, l'esprit continuellement excité par des amusements, ou bien ils seront déprimés à cause de grandes épreuves et de luttes intérieures que, pensent-ils, bien peu ont connues ou sont capables de comprendre. De telles personnes ont beau faire profession de christianisme, elles se trompent elles-mêmes. — The Health Reformer, mars 1872.EMS2 421.1

    Œuvrer pour l'âme comme pour le corps — Nos employés médicaux doivent faire tout ce qui est en leur pouvoir de manière à soigner les maladies du corps, mais aussi celles de l'esprit. Ils doivent veiller, prier et agir, afin de procurer des bienfaits spirituels aussi bien que physiques à ceux auprès desquels ils travaillent. Le médecin de l'un de nos sanatoriums qui est un vrai serviteur de Dieu a une œuvre du plus haut intérêt à accomplir en faveur des êtres souffrants avec lesquels il est en contact. Il ne doit manquer aucune occasion d'orienter les âmes vers Jésus Christ, le grand Médecin du corps et de l'esprit. Tout médecin devrait être un ouvrier habile au service du Christ. Son intérêt pour les choses spirituelles ne doit pas faiblir; sinon, la capacité de fixer son esprit sur la grand Médecin sera restreinte. — Lettre 223, 1905.EMS2 421.2

    Connaître le pouvoir de la grâce divine — Le médecin a besoin d'une sagesse plus qu'humaine afin de savoir comment se comporter dans de nombreux cas difficiles de maladies de l'esprit et du cœur qu'il est appelé à traiter. S'il ignore la puissance de la grâce divine, il ne peut venir en aide aux malades; au contraire, il aggravera leurs maux. Mais s'il est fermement attaché à Dieu, il sera capable d'aider les esprits malades et troublés; il pourra attirer ses patients au Christ et leur apprendre à se décharger sur lui de tous leurs soucis et de Toutes leurs angoisses. — Témoignages pour l'Église 2:171, 172 (1885).EMS2 421.3

    Jésus, la Lumière du monde — Le médecin ne doit jamais encourager ses patients à fixer leur attention sur lui. Il doit leur enseigner à saisir, avec la main tremblante de la foi, celle que leur tend le Sauveur. Ainsi, leur esprit sera inondé des rayons que diffuse la Lumière du monde. — Lettre 120, 1901.EMS2 422.1

    L'action bienfaisante de la vérité — Lorsque la vérité pure est comprise, mise en pratique et maintenue dans toute sa force, son pouvoir apaisant est d'une valeur indicible pour ceux qui souffrent de maladie. Gardez toujours devant leurs yeux la compassion et la douceur du Christ, et inculquez à leur conscience la foi dans son pouvoir de soulager les souffrances; encouragez-les à placer leur confiance en Lui, le grand Médecin, et vous aurez gagné une âme — souvent même sauvé une vie. — Lettre 69, 1898; Medical Ministry, 234, 235.EMS2 422.2

    Religion et santé (paroles adressées aux patients du sanatorium qui assistaient aux services religieux) — Jésus Christ est notre grand Médecin. Des hommes et des femmes viennent nombreux à cet établissement médical [le sanatorium de St Helena] dans l'espoir de bénéficier d'un traitement qui prolongera leur vie. Cela a exigé bien des efforts de leur part.EMS2 422.3

    Pourquoi tous ceux qui viennent au sanatorium pour être aidés sur le plan physique ne viennent-ils pas au Christ pour obtenir une aide spirituelle? Mon frère, ma sœur, pourquoi n'entretenez-vous pas l'espoir que si vous acceptez Jésus Christ, il ajoutera sa bénédiction aux moyens qui sont mis en œuvre pour le rétablissement de votre santé? Pourquoi ne pas croire qu'il coopérera avec vos efforts en vue de votre guérison puisque tel est son désir? Il souhaite que vous ayez un esprit lucide pour que vous puissiez apprécier les réalités éternelles; il désire que vous ayez des énergies et des muscles en bonne santé, afin que vous puissiez glorifier son nom en employant vos forces à son service. — Manuscrit 80, 1903.EMS2 422.4

    Message destiné à une personne mélancolique — Vous vous devez de lutter contre votre anxiété et vos sentiments de mélancolie, au même titre que vous devez prier. Vous devez contrecarrer les entreprises de l'ennemi afin de tenir les rênes de votre langue et de vos pensées. S'il est des circonstances de votre vie où vous avez besoin d'un surcroît de grâce, c'est lorsque vos organes digestifs sensibles et enflammés sont mis à contribution, que vous êtes préoccupé et fatigué.EMS2 423.1

    Cela peut vous surprendre, mais être constamment en colère au point que vous irritez les autres par vos critiques et vos réflexions pessimistes est une forme de blasphème. Ces accès d'indigestion sont éprouvants, mais soyez bien décidé à ne pas jurer contre ceux qui sont vos meilleurs amis ni contre ceux qui sont vos ennemis. — Lettre 11, 1897.EMS2 423.2

    La dynamique de l'approbation divine — L'assurance que Dieu nous approuve favorise la santé physique. Elle fortifie l'âme contre le doute, l'inquiétude et la tristesse excessive qui si souvent sapent les forces vitales et engendrent des maladies nerveuses particulièrement débilitantes et affligeantes. Le Seigneur a engagé sa parole qui ne se dément jamais en promettant que ses yeux sont sur les justes et que ses oreilles sont attentives à leurs prières. — Life Sketches of Ellen G. White, 270, 271 (1915).EMS2 423.3

    Relation entre péché et maladie — Il y a une étroite relation entre le péché et la maladie. Aucun médecin n'exercera pendant un mois sans le constater. Il peut ignorer le fait et son esprit être occupé à tel point par d'autres sujets que son attention en sera détournée, mais s'il veut être un observateur consciencieux, il ne peut pas ne pas reconnaître que le péché et la maladie ont des relations étroites de cause à effet. Le médecin devrait le voir immédiatement et agir en conséquence.EMS2 423.4

    Quand il a gagné la confiance de son malade en le soulageant dans ses souffrances et en le ramenant du bord de la tombe, il peut lui apprendre que la maladie est le résultat du péché, et que c'est l'ennemi déchu, Satan, qui cherche à le pousser à des pratiques qui détruisent à la fois la santé et l'âme. Il peut lui inculquer la volonté du renoncement à soi-même et de l'obéissance aux lois de la vie et de la santé. Il peut en particulier enseigner de bons principes aux jeunes.EMS2 423.5

    Dieu aime ses créatures d'un amour fort et compatissant. Il a établi les lois de la nature, mais elles ne sont pas d'une exigence arbitraire. Chaque “Tu ne feras pas...” des lois physiques et morales implique ou renferme une promesse. En y obéissant on s'attire la bénédiction divine, sinon, c'est le malheur qui en résulte. Les lois divines ont pour but d'amener les enfants de Dieu à vivre plus près de leur Père céleste qui veut les sauver du péché et les conduire dans la voie du bien si toutefois ils y consentent, car il n'entend exercer sur eux aucune pression. Nous ne pouvons pas discerner les plans de Dieu, mais nous devons avoir confiance en lui et montrer notre foi par nos œuvres... — Témoignages pour l'Église 2:172 (1885).EMS2 424.1

    L'unique espoir des humains — Lorsque nous acceptons l'Evangile dans sa pureté et dans toute sa puissance, nous avons alors le remède à nos maladies issues du péché. Pour nous, le Soleil de justice se lève avec “la guérison sous ses ailes”. Malachie 4:2. Tout ce que peut nous offrir le monde ne saurait guérir notre cœur meurtri, communiquer la paix à notre âme, dissiper nos soucis ou vaincre la maladie. La célébrité, le génie, le talent, tout cela est incapable de réjouir un cœur qui souffre ou de rétablir une santé chancelante. Le seul espoir qui reste à l'homme, c'est de vivre la vie qui est en Dieu. — Le ministère de la guérison, 90 (1905).EMS2 424.2

    Une source de bonheur inestimable — L'idée défendue par plusieurs selon laquelle la spiritualité nuirait à la santé est une tromperie de Satan. La religion de la Bible n'est préjudiciable ni à la santé du corps ni à celle de l'esprit. L'influence de l'Esprit de Dieu est le meilleur remède contre la maladie. Le ciel déborde de santé; plus les influences célestes sont mises en œuvre, plus on peut être assuré de la guérison d'un malade croyant. Les vrais principes du christianisme mettent à la disposition de tous une source de bonheur inestimable. La religion est une source à jamais inépuisable où le chrétien peut s'abreuver à volonté. — Christian Temperance and Bible Hygiene, 13 (1890); Counsels on Health, 28.EMS2 424.3

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