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Pour un bon Équilibre Mental et Spirituel 2 - Contents
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    Chapitre 65 — L'indolence

    Développer nos facultés — un devoir — Dieu exige le développement des facultés mentales. Il veut que ses serviteurs aient une plus grande intelligence et un jugement plus sain que les gens du monde. Ceux qui sont trop indolents ou trop insouciants pour devenir des ouvriers utiles et instruits sont les objets de son déplaisir. Le Seigneur nous invite à l'aimer de tout notre cœur, de toute notre âme, de toute notre force, et de toute notre pensée. Cela nous place dans l'obligation de développer notre intelligence au plus haut degré possible, afin que nous puissions connaître et aimer notre Créateur de toute notre pensée. — Les paraboles de Jésus, 288 (1900).EMS2 624.1

    Le travail — un bienfait — Dans le jardin d'Eden, qui était le ciel en miniature, Adam pouvait contempler les œuvres de Dieu. Toutefois, le Seigneur ne créa pas l'homme uniquement pour qu'il contemple ses œuvres glorieuses; il lui donna des mains pour travailler, ainsi qu'un esprit et un cœur pour admirer. Si le bonheur de l'homme consistait à ne rien faire, le Créateur n'aurait pas prescrit à Adam la tâche qui lui était confiée. L'homme devait trouver son bonheur aussi bien dans le travail que dans la méditation. — The Review and Herald, 24 février 1874; The S.D.A. Bible Commentary 1:1082.EMS2 624.2

    Un terrible fléau — La Bible n'approuve jamais l'indolence — ce fléau le plus ruineux pour notre monde. — Les paraboles de Jésus, 298 (1900).EMS2 625.1

    Accomplir avec joie les tâches quotidiennes — D'aucuns considèrent que la richesse et l'oisiveté sont de vraies bénédictions, mais ceux qui sont constamment actifs et qui accomplissent avec joie leurs tâches quotidiennes sont particulièrement heureux et jouissent d'une excellente santé. La saine fatigue qui résulte d'un travail bien organisé leur procure un sommeil réparateur. La parole selon laquelle l'homme doit gagner son pain à la sueur de son front et celle qui lui promet un bonheur futur et glorieux émanent du même trône, et sont toutes deux des bénédictions. — The Youth's Instructor, 5 décembre 1901; My Life Today, 168.EMS2 625.2

    La clé du bonheur — Ce n'est qu'en étant bon et en faisant le bien que l'on obtient le vrai bonheur. La joie la plus pure, la plus élevée est assurée à ceux qui accomplissent fidèlement leurs devoirs. — The Youth's Instructor, 5 décembre 1901; My Life Today, 168.EMS2 625.3

    L'oisiveté conduit à la dépression — Les sentiments de découragement sont souvent le résultat d'une inaction indue. L'oisiveté donne du temps pour cultiver des inquiétudes imaginaires. De nombreuses personnes qui ne souffrent pas présentement de vraies épreuves et de vraies difficultés sont certaines de les prévoir dans l'avenir. Si de telles personnes cherchaient à alléger les fardeaux des autres, elles oublieraient leurs soucis. Un travail accompli avec énergie qui mobiliserait les capacités mentales et physiques serait un bienfait inestimable pour l'esprit et pour le corps. — The Signs of the Times, 15 juin 1882.EMS2 625.4

    Le développement du caractère — Souvenez-vous qu'en toute occasion vous montrez ce que vous êtes, et vous développez votre caractère. Quoi que vous fassiez, soyez ponctuel, diligent; surmontez l'inclination à chercher une tâche facile. — Le ministère de la guérison, 432 (1905).EMS2 625.5

    Renoncement à soi-même — Il faut habituer l'esprit à se détourner du “moi”, et à méditer sur des sujets élevés et édifiants. Que les précieuses heures de la vie ne soient pas gaspillées à rêver à quelque grande tâche qui pourrait être accomplie dans l'avenir, tandis que les menus devoirs du présent sont négligés. — The Signs of the Times, 15 juin 1882.EMS2 626.1

    L'inaction nuit à la santé — Les invalides ne devraient pas se laisser enliser dans l'inaction; cela nuit grandement à leur santé. Il faut faire appel à la force de la volonté; l'aversion pour l'exercice et la crainte des responsabilités doivent être surmontées. A moins qu'ils ne secouent cette apathie et cet esprit rêveur et qu'ils ne se décident à agir, ils ne recouvreront jamais la santé. — The Signs of the Times, 15 juin 1882.EMS2 626.2

    Trop indolents — Ceux qui sont trop indolents pour prendre conscience de leurs responsabilités et pour exercer leurs facultés ne recevront pas la bénédiction divine; les aptitudes qu'ils possédaient leur seront ôtées et seront données aux ouvriers actifs, dynamiques qui développent leurs talents par un usage constant. — Testimonies for the Church 4:458, 459 (1880).EMS2 626.3

    Nécessité d'un travail bien organisé — Certains jeunes gens s'imaginent que s'ils peuvent passer leur vie à ne rien faire, ils seront suprêmement heureux. Ils cultivent une véritable aversion pour le travail utile. Ils envient les amateurs de plaisirs qui passent leur temps en amusements et en loisirs... De telles pensées et une telle attitude aboutissent au mécontentement et aux déceptions. Le désœuvrement a précipité plus d'un jeune dans la perdition.EMS2 626.4

    Un travail bien organisé est essentiel à la réussite de tout jeune. Dieu n'aurait pu infliger aux humains une plus grande malédiction que de les condamner à vivre une vie d'inaction. L'oisiveté détruit l'âme et le corps. Le cœur, le sens moral et les énergies physiques sont affaiblis. L'intelligence souffre, et le cœur, telle une large avenue, est ouvert et prêt à se laisser envahir par tous les vices. L'homme indolent incite le démon à le tenter. — Manuscrit 2, 1871; Our High Calling, 222.EMS2 626.5

    Message adressé à des parents — Vous avez été totalement inconscients de l'emprise de l'ennemi sur vos enfants. Le travail domestique, même s'il s'était soldé par de la fatigue, ne leur aurait pas fait un cinquième du mal causé par les habitudes d'indolence. S'ils avaient appris plus tôt à employer leur temps à un travail utile, ils se seraient épargné bien des dangers. Ils n'auraient pas hérité d'une telle disposition à la fébrilité, d'un tel désir de changement et de se faire des relations. Ils se seraient évité bien des tentations à la vanité et à se livrer à de vains amusements, à des lectures et à des conversations futiles et absurdes. Ils auraient consacré davantage de leur temps à leur profit, sans être aussi fortement tentés de rechercher la compagnie du sexe opposé et à se chercher de mauvaises excuses. La vanité et de mauvaises inclinations, l'inutilité et le péché positif ont été le résultat de cette indolence. — Testimonies for the Church 4:97, 98 (1876).EMS2 627.1

    Utiliser toutes les facultés — L'homme a un rôle à jouer dans le grand combat pour la vie éternelle; il doit se prêter à l'œuvre du Saint Esprit. Cela suppose de sa part une lutte pour rompre avec les puissances des ténèbres, et l'Esprit agit en lui pour lui permettre d'y parvenir. Mais l'homme n'est pas un être passif qui serait sauvé malgré son indolence. Il est appelé à tendre tous ses muscles et à utiliser toutes ses facultés dans son combat en vue de l'immortalité; toutefois, c'est Dieu qui donne les capacités requises.EMS2 627.2

    Aucun être humain ne saurait être sauvé dans son indolence. Le Seigneur nous exhorte en ces termes: “Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite. Car je vous le dis, beaucoup chercheront à entrer et n'en seront pas capables.” Luc 13:24. “Entrez par la porte étroite car large est la porte et spacieux le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte et resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.” Matthieu 7:13, 14. — Manuscrit 16, 1896.EMS2 627.3

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