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Employer tous les moyens disponibles. — Ce n'est pas manquer de foi que d'user des moyens dont le Seigneur nous a pourvus pour alléger la souffrance et seconder la nature, que de collaborer avec Dieu et de se placer dans les conditions les plus favorables à la guérison [quand un malade a demandé que l'on prie pour sa guérison]. Les lois de la vie nous ont été révélées pour notre bien. Usons donc de tous les moyens mis à notre disposition; profitons de tous les avantages possibles, et travaillons en harmonie avec les lois naturelles. — Rayons de Santé, 311.
Employer les moyens qui sont à notre portée. — Vous êtes dans l'erreur en pensant qu'aucun remède ne doit être employé pour les malades. Dieu ne guérit pas le malade sans l'aide des moyens thérapeutiques qui sont à la portée de l'homme; ou quand les hommes refusent de se servir des simples remèdes offerts par lui: l'air pur et l'eau.
Du temps de Christ il y avait des médecins. Luc est appelé le médecin bien-aimé. Il comptait sur le Seigneur pour lui donner de l'habileté dans l'application des remèdes.
Quand le Seigneur fit savoir à Ezéchias qu'il lui accordait un sursis de quinze années et que pour lui signifier son intention de tenir sa promesse il ferait reculer le soleil de