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Manuscrits Inédits (19-96) Tome 1 - Contents
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    Mme Sarepta Myrenda (Irish) Henry *Mme Sarepta Myrenda (Irish) Henry (1839-1900) était l'évangéliste nationale de la W.C.T.U. Les médecins du sanatorium de Battle Creek, où elle était venue comme patiente en 1896, n’avaient aucun espoir de la voir se lever de sa chaise roulante pour le restant de ses jours. Cependant, en réponse aux prières de la foi, elle récupéra de manière remarquable, après s’être s’engagée à garder tous les commandements de Dieu. Son entière acceptation de la foi adventiste apporta beaucoup de joie au cœur d’Ellen White, qui se trouvait alors en Australie. Par correspondance, une sincère amitié se créa entre ces deux femmes saintes. En décembre 1898, Ellen White écrivit ce qui suit concernant les relations de Mme Henry avec la W.C.T.U. et la W.C.T.U.

    Je remercie le Seigneur de tout mon cœur, de toute mon âme et à pleine voix de ce que vous ayez été un membre important et influent de la Women’s Christian Temperance Union. Dans sa providence, Dieu vous a conduite à la lumière pour que vous ayez connaissance de la vérité. Les enseignements qu’avec vos collègues, vous avez reçus dans la grande oeuvre de la tempérance sont justement ceux qu’il vous faut pour rallier à Poeuvre des femmes dont l’Esprit de Dieu a attendri le coeur, et qui recherchent la vérité comme un trésor caché. Cela fait vingt ans que je vois que la lumière brillerait sur les ouvrières de la tempérance. [...]MI1 121.2

    Le Seigneur ne vous demande pas de vous séparer de la W.C.T.U. Ces femmes ont toutes besoin de la lumière que vous pouvez leur appporter. Vous n’avez pas à apprendre d’elles, mais de Jésus-Christ. Faites briller le plus possible cette lumière sur leur chemin. Vous pouvez être d’accord avec elles sur le terrain des principes purs et élevés qui, au départ, ont fait voir le jour à la W.C.T.U. — Lettre 118, 1898, p. 2-4 (à la sœur Henry, 1er décembre 1898) **Au moment où Mme Henry reçut cette lettre, elle avait présenté sa démission en tant que membre directeur de la W.C.T.U. Elle écrivit donc à ce sujet à Ellen White, le 3 février 1899 :. « Je ne puis vous dire combien je suis reconnaissante que le Seigneur m’ait envoyé ce message à temps pour m‘empêcher de faire le dernier pas qui aurait rompu mes relations avec la W.C.T.U. Ceci fut une des manifestations les plus remarquables des soins personnels et constants du Seigneur envers ses enfants, comme je n’en ai jamais vue. [...] Le message est arrivé juste au moment opportun et si claire de la part du Seigneur que je n’ai pas eu d’hésitations à ce sujet. J’ai simplement écrit que je retirais ma démission.» Mme Henry continua à travailler pour l’organisation, et c'est surtout grâce à l’influence de son travail et ses appels que les efforts en faveur de la loi dominicale furent généralement abandonnés par l’organisation. Son œuvre, aussi bien parmi les femmes de cette organisation que celles de notre mouvement, fut un grand bienfait jusqu’au moment de sa mort inopportune, en janvier 1900. Ellen White lui écrivit de nombreuses paroles d’encouragement, comme la missive qui suit..MI1 121.3

    J’ai eu grand plaisir à recevoir votre lettre où vous me racontez votre expérience avec la W.C.T.U. En la lisant, j’ai dit : « Merci Seigneur, cette semence qui est semée est de grande valeur ! » Je suis contente, si contente ! Le Seigneur vous a certainement ouvert la voie. Faite en sorte qu’elle reste ouverte. Vous pouvez faire beaucoup. Consacrez vos forces à de tels efforts et, chaque fois que vous le pouvez, assistez aux rencontres importantes. [...]MI1 122.1

    Il y a beaucoup d’âmes précieuses que le Seigneur désire atteindre par la lumière de la vérité. Le travail consiste à s’efforcer à les aider à comprendre les Écritures. J’ai eu un intérêt intense pour les ouvrières de la W.C.T.U. Ces femmes héroïques savent ce que veut dire avoir une individualité propre. Je désire tant qu’elles puissent triompher et, avec les rachetés, se retrouver autour du grand trône blanc. J’élèverai des prières en votre faveur afin que des occasions particulières vous soient données d’assister à leurs grandes rencontres et que votre voix soit entendue pour défendre la vérité. — Lettre 231, 1899, p. 1, 2 (à la sœur Henry, décembre 1899).MI1 122.2

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