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Manuscrits Inédits (19-96) Tome 1 - Contents
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    Un cas justifié de deuxième mariage.

    Concernant le mariage de votre fille avec A , je peux comprendre que vous soyez in quiet. Mais le mariage s’est fait avec votre consentement et votre fille, connaissant tout sur lui, l’a accepté comme mari et maintenant, je ne vois aucune raison pour laquelle vous devriez vous préoccuper autant à ce sujet. Votre fille aime A , et il se pourrait que ce mariage soit dans l’ordre de Dieu afin que tous les deux, votre fille et A , puissent faire une expérience chrétienne plus riche et qu’ils puissent s'entraider dans le domaine de leurs défaillances respectives. Votre fille s'est promise à A en mariage, et rompre les vœux de mariage serait mal agir. Elle ne peut pas renoncer maintenant à ses obligations envers lui. [...] J’ai personnellement eu connaissances de ses relations précédentes avec sa première femme B . A l’aimait plus que de raison, mais elle n’était pas digne de sa considération. Il a fait tout ce qui était en son pouvoir pour l’aider et a fait tout son possible pour qu’elle reste sa femme. Il n’aurait pu faire mieux que ce qu’il a fait. Je l’ai suppliée et ai essayé de lui montrer l'incohérence de sa conduite. Je l'ai priée de ne pas demander le divorce, mais elle était déterminée, inflexible et obstinée. Elle voulait faire sa propre volonté. Quand elle vivait avec lui, elle a essayé de lui soutirer le plus d'argent possible, mais elle ne l'a pas traitée avec la bonté avec laquelle une femme doit traiter son mari.MI1 155.7

    A n'a pas répudié sa femme. Elle l'a quitté, a fait fi de lui et a épousé un autre homme. Je ne trouve rien dans les Ecritures qui empêcherait A de se remarier dans le Seigneur. Il a droit à la tendresse d'une femme. [...]MI1 156.1

    Je ne vois aucune raison de perturber cette nouvelle union. Séparer un homme de sa femme est quelque chose de grave. Il n’existe dans ce cas aucune base biblique pour entamer une telle action. Il ne l’a pas quittée, c’est elle qui l’a abandonné. Il ne s’est pas remarié jusqu'à ce qu'elle ait obtenu le divorce. Quand B a divorcé de A il a terriblement souffert et ne s'est pas remarié jusqu'à ce qu'elle aie épousé un autre homme. Je suis certaine que celle qu'il a choisie l'aidera beaucoup et qu'il l’aidera aussi. [...] Je ne vois rien dans la Parole de Dieu qui exige qu’elle se sépare de lui. Puisque vous m’avez demandé conseil, je vous le donne librement aujourd’hui. — Lettre 50, 1895, p. 1-6.MI1 156.2

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