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Le Ministère de la bienfaisance - Contents
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    Chapitre 9—Différents aspects de l’évangélisation de notre voisinage

    Que votre lumière luise ainsi devant les
    hommes, afin quels voient vos bonnes
    œuvres, et qu’ils glorifient votre Père qui
    est dans les cieux. Mat. 5: 16.

    Une grande œuvre attend nos églises — Très peu de croyants ont une idée de l’œuvre qui incombe à nos églises. ... Nous devons pourvoir au soutien de nos ouvriers évangéliques dans le grand champ de la moisson, et nous réjouir des gerbes qu’ils réunissent. Mais, à part cela, il reste encore une œuvre à accomplir qui n’a pour ainsi dire pas été amorcée. La mission du Christ consistait à guérit les malades, encourager les désespérés, relever les cœurs brisés. Il faut poursuivre cette tâche. MB 57.1

    Dieu réclame non seulement votre bienveillance, mais encore votre sympathie, vos mots d’espoir, votre poignée de main. Il y a des affligés à consoler, des malades à guérir, des malheureux à secourir, du soleil à apporter dans les cœurs. Il y a des gens qui ont perdu courage ; offrez-leur quelques paroles d’espoir, priez pour eux, Lisez-leur la Parole de Dieu. Il y a une maladie de l’âme qu’aucun baume, aucun médicament ne saurait soulager. Priez pour ces personnes, faites-leur connaître Jésus-Christ. Le Sauveur vous assistera, et fera impression sur le cœur des hommes. — “Manuscrit” 105, 1898.MB 57.2

    Visitez chaque famille et enquérez-vous de leur condition spirituelle. — Partout où une église est organisée, tous ses membres devraient s’engager dans une activité missionnaire, visiter chaque famille de leur entourage, et connaître leur condition spirituelle. Si tous ceux qui se disent chrétiens avaient entrepris cette œuvre, lorsque leurs noms ont été inscrits sur les registres de l’église, on ne verrait pas tant d’incrédulité, d’iniquité et de méchanceté, comme on en voit aujourd’hui dans le monde. Si chaque membre d’église avait cherché à éclairer ses semblables, des milliers de personnes se seraient jointes au peuple qui garde les commandements de Dieu.MB 57.3

    Les résultats de cette négligence dans le travail missionnaire ne se constatent pas seulement dans le monde, on les observe aussi dans l’Eglise où il existe un état de choses qui a éclipsé l’intérêt que l’on devrait porter à l’œuvre de Dieu. Il y règne un esprit de critique et d’amertume, et le discernement spirituel d’un grand nombre a été obscurci. C’est la raison pour laquelle la cause de Dieu a tellement souffert. Les intelligences célestes ont attendu la collaboration des agents humains, mais nous n’en avons pas discerné la présence.MB 58.1

    Il est urgent aujourd’hui de nous repentir. Tout le peuple de Dieu doit s’intéresser à l’œuvre de la bienfaisance. Que les cœurs et les âmes s’unissent afin de faire un sérieux effort pour élever et éclairer ceux qui se perdent . — “Testimonies”, vol. VI, p. 296, 297.MB 58.2

    A la recherche de ceux qui écouteront — Il y a quelques années, je visitai le sud des Etats-Unis. Au cours d’un long déplacement, je demandai qui occupait les maisons que nous voyions. On m’apprit que dans beaucoup d’entre elles habitaient des hommes qui remplissaient de hautes fonctions dans la gérance de grands domaines. On me dit encore que personne n’avait jamais rien entrepris pour leur faire connaître la Parole de vie. Personne n’était venu les trouver avec la Bible, pour leur dire : « Nous possédons quelque chose de précieux dont nous aimerions vous entretenir. » Il m’a été montré maintes fois qu’un travail de ce genre devait s’accomplir. Il faut que nous allions « dans les chemins et le long des haies » porter le message de vérité que le Christ nous a confié. Contraignez-en un grand nombre à entrer. — “Manuscrit” 15, 1909.MB 58.3

    Amenez des âmes au Christ — Que de gens ont perdu tout espoir! Ramenons le soleil dans leurs cœurs. Combien d’autres sont découragés. Adressons-leur des paroles de réconfort. Prions pour eux. D’aucuns ont besoin de recevoir le pain de vie. Lisons-leur la Parole de Dieu. D’autres sont tourmentés, ils ne peuvent recevoir aucun baume terrestre, et nul ne saurait les soulager. Amenons ces âmes en détresse à Jésus. Disons-leur qu’il existe un baume et un docteur en Galaad. - .,Prophètes et rois”, P. 544.MB 58.4

    Travaillez pour toutes les classes — Partout il y a une œuvre à accomplir en faveur de toutes les classes de la société. Occupons-nous des pauvres et des miséreux, de ceux qui sont victimes de l’intempérance, sans oublier la classe plus élevée : les avocats, les ministres, les députés, les magistrats. N’épargnons aucun effort pour leur faire comprendre que leur âme vaut la peine d’être sauvée, que la vie éternelle est un bien désirable. — “Testimonies”, vol. VII, p. 58.MB 58.5

    Appelés à différentes manières de servir — Le Seigneur nous appelle à servir de différentes manières. Nous n’accomplissons qu’une toute petite partie du travail que Dieu veut nous voir faire parmi nos voisins et nos amis inconvertis. En montrant de la bonté à l’égard des pauvres, des malades, des affligés, nous pouvons avoir sur eux une influence qui permettra à la vérité divine de faire son chemin dans leurs cœurs. Prenons garde de ne pas négliger de telles occasions. C’est là le travail missionnaire le plus important que nous puissions accomplir. La présentation de la vérité de maison en maison avec amour et sympathie est en harmonie avec les instructions du Christ à ses disciples, lorsqu’il les envoya pour la première fois prêcher l’Evangile. — “Review and Herald”, 6 juin 1912.MB 58.6

    Secourez l’humanité à l’instar du Christ — Il [le Christ] passait par les villes et les villages, tel un courant vivifiant, répandant la vie et la joie. Les disciples du Christ sont appelés à travailler comme il l’a fait. Nous devons nourrir ceux qui ont faim, vêtir ceux qui sont nus et consoler ceux qui souffrent, ceux qui sont affligés, nous occuper de ceux qui désespèrent, et leur rendre l’espérance. — “Jésus-Christ”, p. 154.MB 59.1

    L’œuvre qui incombe à chaque membre d’église - Recueillir les malheureux et les opprimés, prendre soin des malades et des indigents, voilà l’œuvre même à laquelle devrait se livrer depuis longtemps chaque église qui prétend croire à la vérité évangélique pour notre époque. Nous devons faire preuve d’une sympathie aussi tendre que celle du bon Samaritain, en subvenant aux besoins physiques des malheureux, en donnant à manger à ceux qui ont faim, en abritant dans nos foyers les malheureux sans asile et en puisant en Dieu, jour après jour, les forces et la grâce qui nous permettront de pénétrer jusque dans les bas-fonds de la misère humaine pour venir en aide à ceux qui ne peuvent d’eux-mêmes en sortir. Ce travail nous fournira une occasion favorable de faire connaître le Christ crucifié. — “Témoignages”, vol. 11, P. 599.MB 59.2

    Ce que les sermons ne sauraient faire — Par un travail personnel, allez chercher les gens là où ils sont. Faites leur connaissance. L ’oeuvre que nous accomplissons ne peut se faire par procuration, ni en prêtant ou en donnant de l’argent. Les sermons prononcés en chaire ne sont pas suffisants. — „Le ministère évangélique” , p. 182.MB 59.3

    Groupes de chanteurs — Il y a une puissance dans le chant. Les étudiants qui s’exercent à chanter des chants évangéliques peuvent faire beaucoup de bien. Ils auront ainsi de nombreuses occasions d’employer leurs talents musicaux pour apporter un peu de soleil dans de nombreux endroits solitaires et assombris par la tristesse et l’affliction.MB 59.4

    Les étudiants doivent aller “dans les chemins et le long des haies”, afin d’atteindre les plus déshérités comme la classe la plus élevée. Qu’ils pénètrent dans les maisons du riche et du pauvre, et qu’ils leur demandent s’ils pourraient leur chanter quelques cantiques. Puis, lorsque les cœurs se seront attendris, ils pourront prononcer une prière pour demander la bénédiction du ciel. Il en est peu qui refuseront de les écouter. Il y a là un véritable travail missionnaire. — “Counsels to Parents, Teachers and Students”, p. 547, 548.MB 59.5

    Un vaste champ de service pratique — Il existe un vaste champ missionnaire pour les femmes comme pour les hommes. La cuisinière, la couturière, l’infirmière peuvent toutes se rendre utiles. Apprenez aux pauvres comment faire la cuisine, comment confectionner leurs vêtements, soigner les malades, tenir leur ménage. Même les enfants peuvent apprendre à faire quelques commissions pour ceux qui sont moins favorisés qu’eux.MB 60.1

    On peut encore rendre des services d’un autre genre. - Ce dont on a besoin aujourd’hui, ce n’est pas de savants et éloquents orateurs, mais d’humbles chrétiens, hommes et femmes.MB 60.2

    Travaillez avec désintéressement, avec amour et patience pour tous ceux que vous approchez. Ne soyez pas impatients, ne prononcez aucun propos méchant. Que l’amour du Christ soit dans votre cœur, la bonté sur vos lèvres. — “Review and Herald”, 7 août 1913.MB 60.3

    Employez les jours fériés à travailler pour le Seigneur — Voici encore d’autres genres de service. Certains sont capables d’expliquer les Ecritures et de communiquer à d’autres ce qu’ils croient. Il y a là un moyen d’apporter un précieux réconfort à de pauvres âmes découragées, qui semblent ne pouvoir saisir l’espérance et la foi. D’autres se demandent comment il leur serait possible de se rendre utiles. Si leur travail les absorbe tous les jours de la semaine, sauf le dimanche et les jours fériés, au lieu d’employer ces jours à leurs propres plaisirs, qu’ils les mettent au service du Seigneur. Leur exemple stimulera leurs frères à faire quelque chose à la gloire de Dieu. Ecoutez ces paroles inspirées de l’apôtre : « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. » C’est ainsi qu’un principe divin vous animera dans vos activités de la vie quotidienne : être bons, faire le bien. ...MB 60.4

    Tous ne peuvent pas donner tout leur temps au travail missionnaire, leurs occupations ne le leur permettant pas. Mais qu’ils emploient les jours fériés à faire quelque chose pour le Seigneur, s’ils ne peuvent donner beaucoup d’argent pour la cause. — “Lettre” 12, 1892.MB 60.5

    Les heures si souvent passées à des amusements et ne procurant aucun repos pour le corps ni pour l’âme, devraient être employées à rendre visite aux malades et à ceux qui souffrent, ou à s’efforcer de venir en aide à celui qui est dans le besoin. “Témoignages”, vol. II, p. 600. Le ministère de la bienfaisance le jour du sabbat — Selon le quatrième commandement, le jour du sabbat doit être consacré au repos et aux services religieux. Tout travail séculier doit donc être interrompu, mais on peut accomplir ce jour-là des œuvres de miséricorde. Ni le moment, ni le lieu ne les limitent. Soulager les affligés, consoler ceux qui pleurent, voilà une œuvre d’amour qui honorera le Seigneur et son saint jour. - ,Redemption : or the Teachings of Christ”, no 4, p. 46.MB 60.6

    Anciennes méthodes à renouveler — Que tous ceux qui sentent reposer sur leurs épaules le fardeau des âmes qui se perdent se rendent de maison en maison, pour expliquer la Parole de Dieu, « préceptes sur préceptes, un peu ici, un peu là ”, conduisant graduellement leurs auditeurs à la pleine lumière de la vérité biblique. C’est ce qui a été fait aux premiers jours du message. Lorsque des efforts sérieux sont tentés, le Seigneur répand sa bénédiction sur les ouvriers et sur ceux qui cherchent à comprendre la vérité telle qu’elle est contenue dans la Bible.MB 61.1

    L’Ecriture sainte renferme de précieuses et de glorieuses vérités. Notre privilège consiste à les faire connaître au monde. Allons trouver ceux qui ne peuvent assister à des conférences, en raison de la distance, et présentons-leur la vérité dans toute sa simplicité.MB 61.2

    Quelle lumière se dégage de la Parole ! Nous lisons dans Esaïe « Crie à plein gosier, ne te retiens pas. Elève la voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses iniquités. » Notez l’expression : « Mon peuple. » Pourquoi le prophète dit-il : « Mon peuple » ? A ce moment-là, les Israélites étaient loin de se conformer à la lumière de la vérité ; mais Dieu voulait les sauver de leurs péchés. La vérité devait leur-être rappelée dans toute sa simplicité.MB 61.3

    Le message du troisième ange doit être proclamé à toute nation, et le Christ a déclaré qu’il devait retentir « jusqu’aux extrémités du monde ». « Crie à plein gosier, ne te retiens pas ”, recommande-t-il. Il faut donc faire connaître partout la vérité telle qu’elle est révélée dans la Parole de Dieu, soit en public soit de maison en maison. — “Manuscrit” 15, 1909.MB 61.4

    N’attendez pas que les âmes viennent à vous - Nous ne devons pas attendre que les âmes viennent à nous. Il faut aller les chercher là où elles se trouvent. Quand le prédicateur descend de la chaire, son travail ne fait que commencer. Des multitudes de gens ne seront jamais touchés par l’Evangile si nous n’allons pas le leur annoncer chez eux. “Paraboles”, p. 229.MB 61.5

    Travaillez de maison en maison, sans oublier les pauvres. Le Christ a dit … « il m’a oint pour annoncer la bonne nouvelle aux pauvres. » Nous devons aller et faire de même. — “Review and Herald”, 11 juin 1895.MB 61.6

    « Je suis perdu et vous ne m’avez pas averti » — Allez dans les maisons de ceux qui ne manifestent aucun intérêt pour la vérité. Alors que la douce voix de la miséricorde invite le pécheur, employez toutes les ressources de votre cœur et de votre cerveau, comme le fit l’apôtre Paul, « qui ne cessait d’avertir chacun nuit et jour dans les larmes ». Au jour du jugement, ils seront nombreux ceux qui nous diront : « Je suis perdu ! Je suis perdu ! et vous ne m’avez jamais averti, vous ne m’avez jamais parlé du retour de Jésus. J’aurais cru comme vous, et j’aurais averti mes semblables avec prière et avec larmes de ce qui allait se produire. » “Id.”, 24 juin 1884.MB 62.1

    Influence du travail missionnaire sur notre vie spirituelle — Visitez vos voisins, faites-vous-en des amis. ... Ceux qui ne prennent pas part à cette œuvre, qui sont indifférents, perdront bientôt leur premier amour, et se mettront à critiquer et à condamner leurs frères. - ,id.,,, 13 mars 1902.MB 62.2

    L’œuvre n’est ni ennuyeuse ni sans intérêt — Tous ceux qui sont en communion avec Dieu trouveront de nombreuses occasions de travailler pour lui. Ceux qui s’en vont dans l’esprit du Maître, s’efforçant de gagner des âmes à la vérité ne considéreront pas leurs efforts pour attirer les âmes au Sauveur comme une corvée pénible et désagréable. Ils sont les vignerons de Dieu, et ils recevront une vie de plus en plus abondante à mesure qu’ils se consacreront au service de Dieu. C’est un bonheur que d’expliquer les Ecritures. — “Témoignages”, vol. A, p. 258.MB 62.3

    Faites des heureux — Soyez joyeux selon le Seigneur. Le Christ est la lumière ; en lui il n’y a pas de ténèbres. Prenez l’habitude de louer Dieu. Faites des heureux. C’est là votre premier travail ; il affermira les meilleurs traits de votre caractère. Ouvrez toutes grandes les fenêtres de votre âme vers le ciel, et laissez-y pénétrer le Soleil de justice, le matin, à midi et le soir, afin que votre cœur soit rempli des brillants rayons de la lumière céleste. — “Review and Herald”, 7 avril 1904.MB 62.4

    Faites revivre l’esprit missionnaire de 1844* C’est le dernier message de Mme E. G. White lu à la session de la Conférence Générale, en 1913, par le président A. G. Daniells, le mardi matin, 27 mal.) - Récemment, pendant les veilles de la nuit, le Saint-Esprit a fait impression sur moi, et je me disais que si le Seigneur revenait aussi tôt que nous le voudrions, nous devrions être plus actifs qu’au cours des années écoulées, en proclamant la vérité.MB 62.5

    Je revis alors en esprit les activités des croyants adventistes de 1843, 1844. A cette époque, on faisait beaucoup de visites de maison en maison, pour avertir les gens des événements dont parlait la Parole de Dieu. Nous devrions arriver à faire davantage encore que ceux qui proclamaient le premier message si fidèlement. Nous approchons rapidement de la fin de l’histoire de la terre, et si nous étions vraiment persuadés que le Seigneur va revenir bientôt, nous travaillerions comme nous ne l’avons jamais fait. Notre devoir est de donner le signal d’alarme. “General Conference Bulletin”, 27 mai 1913, p. 164.MB 63.1

    Faites de nouveau ce travail — En allant, comme les disciples, de lieu en lieu, pour faire connaître l’amour du Sauveur, vous vous ferez des amis, et vous verrez le fruit de vos travaux. Tous les véritables, humbles et fidèles ouvriers du Seigneur seront soutenus et affermis par la puissance d’en haut. Ils gagneront les cœurs en suivant l’exemple du Christ. Les malades seront soignés, les affligés consolés. On entendra des chants et des prières. Les Ecritures seront lues pour témoigner de la vérité, et le Seigneur confirmera par des signes ce qui aura été dit.MB 63.2

    Cette manière de travailler est passée de mode. Remettons-la en pratique. Les champs blanchissent et sont prêts pour la moisson. Le Seigneur réclame plus de moissonneurs. Il sera avec ceux qui étudient la Parole de Dieu et obéissent à ses commandements. Il leur donnera sa grâce. Allez au nom du Christ, en vous souvenant qu’il est votre compagnon, et qu’il entend chaque prière, chaque mot que vous prononcez, chaque cantique que vous chantez. Le message de la venue prochaine du Christ avec puissance et grande gloire apportera la conviction dans bien des cœurs. “Review and Herald”, ler février 1904.MB 63.3

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