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Le Ministère de la bienfaisance - Contents
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    Chapitre 17—Une œuvre pour les femmes

    Il y avait à Joppé, parmi les disciples, une
    femme nommée Tabitha, ce qui signifie
    Dorcas ; elle faisait beaucoup de bonnes
    œuvres et d’aumônes. Actes 9:36.

    L’œuvre de Dorcas aujourd’hui — Beaucoup plus de femmes devraient s’occuper des souffrances de l’humanité, soulager les malheureux, leur apprendre à croire - tout simplement - à Jésus-Christ notre Sauveur. Lorsque ces âmes s’abandonneront entièrement au Seigneur, elles comprendront la doctrine. ...MB 109.1

    Je suis peinée de savoir qu’en Amérique nos sœurs ne font pas le travail qu’elles pourraient accomplir pour le Seigneur Jésus. Si elles demeuraient en Christ, elles recevraient le courage, la force et la foi nécessaires. Beaucoup de femmes aiment à bavarder. Pourquoi ne parlent-elles du Christ aux âmes qui se perdent ? Plus nous vivrons près du Sauveur, mieux nous connaîtrons la misère de ceux qui vivent loin de Dieu et déshonorent sans s’en rendre compte Jésus qui les a rachetés à un prix infini.MB 109.2

    Lorsque les femmes croyantes sentiront le fardeau des âmes et celui de leurs péchés, elles travailleront comme le Christ a travaillé. Elles considéreront qu’aucun sacrifice n’est trop grand pour gagner des âmes au Sauveur. Tous ceux qui possèdent cet amour pour les âmes sont nés de Dieu ; ils sont prêts à suivre l’empreinte de ses pas ; leurs paroles et leur voix seront des talents employés au service du Maître. ...MB 109.3

    Dans ce travail on s’instruit sans cesse. On découvre ses faiblesses et son inefficacité. On amène les âmes au Seigneur par la prière, et le Sauveur intervient par son Esprit pour qu’elles comprennent que c’est lui qui amollit et brise les cœurs endurcis. — “Lettre” 133, 1898.MB 109.4

    La valeur de l’organisation - L’œuvre que vous *Adresse a une femme de grande experience qui s’etait jointe a l’Eglise adventiste.accomplissez en aidant nos sœurs à comprendre leur responsabilité individuelle envers Dieu est excellente et nécessaire. Elle a été longtemps négligée. Mais lorsqu’elle est simplement et clairement définie, on peut s’attendre à ce que les devoirs du foyer, au lieu d’être négligés, soient accomplis d’une façon beaucoup plus intelligente. Le Seigneur n’obligera jamais celui qui ne le désire pas à comprendre la valeur d’une âme.MB 109.5

    Si l’on organise des groupes et si on leur apprend à travailler intelligemment, nos églises posséderont une vitalité dont elles ont besoin depuis longtemps. La valeur de l’âme que le Christ a rachetée sera appréciée. Généralement, nos sœurs ont des difficultés parce que leur famille s’accroît et leurs épreuves sont incomprises. Depuis longtemps je désire que des femmes soient formées pour aider nos sœurs à triompher de leur découragement et à sentir qu’elles peuvent faire une œuvre pour le Seigneur. Cela illuminera leur vie et celle des autres. Dieu vous bénira, ainsi que tous ceux qui s’unissent à vous dans cette grande tâche. — “Lettre” 54, 1899.MB 110.1

    Le Seigneur a une œuvre pour les femmes — Le Seigneur a une œuvre pour les femmes aussi bien que pour les hommes. Elles ont un rôle à jouer à notre époque de crise. Si elles comprennent leurs devoirs, et opèrent sous l’influence du Saint-Esprit, elles posséderont les qualités requises pour notre époque. Le Sauveur réfléchira sur elle la lumière de sa face, et il leur donnera une puissance qui dépassera celle des hommes. Elles accompliront dans les familles une œuvre que les hommes ne sauraient faire, une œuvre qui atteint les profondeurs de la vie intérieure. Elles arriveront à s’approcher des cœurs que les hommes ne peuvent atteindre. Leurs travaux sont nécessaires. — “Review and Herald”, 26 août 1902.MB 110.2

    Les femmes ont une haute destinée — Mes sœurs, si nous le voulons, nous pouvons faire une belle œuvre pour le Seigneur. La femme ne connaît pas sa puissance. Dieu ne désire pas qu’elle emploie toutes ses facultés à se poser des questions de ce genre : « Que mangerons-nous ? Que boirons-nous ? De quoi serons-nous vêtus ? » Il y a un but plus élevé pour la femme, une destinée plus noble. Elle doit développer ses facultés pour que Dieu l’emploie à sauver des âmes de la ruine éternelle. — “Témoignages”, vol. 1, p. 691.MB 110.3

    On peut affirmer sans se tromper que la dignité et l’importance de la mission de la femme et ses devoirs particuliers ont un caractère plus sacré que les devoirs de l’homme. ... Que la femme comprenne la sainteté de son œuvre, et qu’elle l’accomplisse dans la crainte de Dieu et par sa force. — “Testimonies”, vol. III, p. 565.MB 110.4

    Si nous pouvions faire comprendre à nos sœurs le bien qu’elles pourraient accomplir par le Seigneur Jésus-Christ, nous verrions une grande œuvre s’effectuer. - ,Lettre” 119, 1898.MB 110.5

    Les femmes appelées à être des messagères de miséricorde — Ce qu’il nous faut ce sont des femmes consacrées qui, comme messagères de miséricorde, visiteront les mères et les enfants dans leurs ers, et les aideront dans leurs devoirs quotidiens, si c’est nécessaire, avant de leur parler de la vérité pour notre époque. Vous verrez que par cette méthode vous gagnerez des âmes comme résultat de vos efforts. “Review and Herald”, 12 juin 1906.MB 111.1

    Pourquoi rester oisifs ? — Le maître de la vigne dit à de nombreuses femmes qui ne font rien : « Pourquoi vous tenez-vous ici toute la journée sans rien faire ? » Elles peuvent être des instruments de justice, rendre de saints services. C’est Marie qui la première prêcha Jésus ressuscité. L’influence bénie des femmes chrétiennes est nécessaire dans la grande œuvre de la prédication de la vérité. S’il y avait vingt femmes faisant du salut des âmes leur œuvre préférée là où il n’y en a qu’une maintenant, nous verrions bien plus de conversions à la vérité. Un zèle constant dans la cause de Dieu donnerait un plein succès, et étonnerait par ses résultats. C’est avec patience et persévérance que l’œuvre doit être accomplie ; c’est ainsi que se manifeste la piété réelle. Dieu veut des actes et non des paroles seulement.MB 111.2

    L’œuvre de Dieu est digne de nos meilleurs efforts.MB 111.3

    Nos intérêts nous absorbent souvent au point que nous ne pensons pas aux besoins de l’humanité. Nous ne manifestons aucune sympathie, aucune bienveillance à l’égard des nécessiteux, des opprimés, de ceux qui souffrent. - ,Signs of the Times”, 10 septembre 1886.MB 111.4

    L’œuvre qui doit être accomplie — L’inaction et une oisiveté raffinée affaiblissent les forces vives des jeunes femmes. Il en est qui passent des heures précieuses au lit, ce qui ne leur donne aucune force et ne leur permet pas de soulager les autres de leurs fardeaux. Il en résulte pour elles de la débilité et de mauvaises habitudes. Ces heures passées au lit ne seront jamais retrouvées. Le péché du temps ainsi perdu est inscrit sur les registres du ciel.MB 111.5

    Il y a beaucoup à faire dans le monde affairé qu’est le nôtre. Il ne manque pas de personnes dans la grande famille de Dieu qui ont besoin de sympathie et d’aide. Si notre travail nous le permet, visitons les malades, les pauvres qui doivent être secourus et encouragés. — “The Health Reformer”, juin 1873.MB 111.6

    Une place unique pour les femmes dans l’œuvre de Dieu — Il y a un vaste champ où nos sœurs peuvent rendre de grands services pour le Maître dans différentes branches de l’œuvre de Dieu. Par leur travail missionnaire elles atteindront une classe de la société où nos pasteurs ne peuvent rien faire. ... Il y a une œuvre, négligée ou accomplice imparfaite- ment, que pourraient faire nos sœurs. Il existe tant de sortes de travaux trop fatigants pour des femmes et que nos frères sont appelés à accomplir, que plusieurs branches du travail missionnaire sont négligées. Certaines choses, dans nos églises, peuvent être faites par des femmes, si celles-ci sont convenablement instruites. Nos sœurs peuvent remplir des postes de secrétaires, ou se livrer à d’autres occupations négligées. Il y a bien d’autres emplois encore dans la cause de Dieu pour lesquels nos sœurs sont mieux qualifiées que nos frères. — “Review and Herald”, 19 décembre 1878.MB 111.7

    Correspondance missionnaire — Les femmes peuvent accomplir un excellent travail missionnaire en écrivant à leurs amis, et en cherchant a connaître leurs véritables sentiments pour la cause de Dieu. On arrive à savoir bien des choses par ce moyen. On ne cherchera pas à s’exalter soi-même, mais à présenter la vérité dans sa simplicité partout où l’occasion se présente. — “Signs of the Times”, 16 septembre 1886.MB 112.1

    Dieu réclame notre temps et notre argent — Il ne nous est pas permis, mes chères sœurs, de gaspiller notre temps, et de donner le mauvais exemple à cet égard. ... Nous avons des obligations religieuses dont nous devons nous acquitter. Si nous les négligeons, et si nous passons notre temps à des choses inutiles, nous rapetissons notre intelligence et nous nous privons des affections du Seigneur. L’auteur de notre existence a des droits sur notre temps et sur nos biens. Il existe tout autour de nous des pauvres que notre argent peut soulager, et auxquels de bonnes paroles feront du bien. Le Christ s’identifie lui-même avec l’humanité souffrante. Si vous négligez de visiter la veuve et l’orphelin qui passent par la fournaise de l’affliction et qui souffrent de privations, vous n’avez pas compris que le Christ enregistrera dans les livres du ciel votre conduite à leur égard comme si vous l’aviez lui-même négligé. — “The Health Reformer”, juin 1873.MB 112.2

    S’engager personnellement dans l’évangélisation — L’œuvre de nos sœurs qui se sont données au Seigneur pour travailler en faveur des pécheurs doit nécessairement comporter un travail personnel d’évangélisation. Celles qui s’engagent dans cette voie portent l’Evangile dans les foyers des grands centres aussi bien que dans les endroits reculés et perdus. Elles lisent et expliquent la Parole de Dieu aux familles, elles prient avec elles, prennent soin des malades et viennent en aide à ceux qui sont dans le besoin. “Témoignages”, vol. 11, p, 472.MB 112.3

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